Fessée devant tout le monde

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il y a 6 ans

C’est un joli jeudi du mois de mai, j’ai 18 ans et, pour la première fois, je suis seule à la maison.

Maman m’avait prévenue le week-end précédent :

« J’ai une réunion de travail à Orléans et j’ai retenu une chambre pour la nuit. Mamie gardera tes petites sœurs, toi tu resteras à la maison pour travailler ta composition de géographie. Interdiction d’inviter des copines et tu te coucheras à 21 heures comme d’habitude. J’espère que je peux avoir confiance en toi ! »

« Oui, Maman ! Je suis une grande fille et je serai sage ! C’est promis ! »

Le lundi, j’en parle à mes copines de classe qui me proposent d’organiser une boum. Je leur réponds :

« C’est une bonne idée mais si Maman l’apprend, je vais ramasser une sacrée rouste. »

Elles me promettent de tenir le secret et de ne pas dire à leurs parents que je serai seule à la maison. Je me laisse facilement convaincre. J’invite aussi Didier mon voisin et seul garçon avec qui j’ai le droit de jouer. Sa mère tient une D r o g u e rie et elle s’entend très bien avec la mienne qui est une cliente fidèle et, à chaque Noël, elle lui achète un martinet !

Dans l’après-midi, Didier, en bon scout, m’aide à préparer la maison et à faire les courses. Comme mon argent de poche ne suffit pas, je prends 200 F dans la réserve de Maman en pensant les lui rendre avec la participation des copines avant qu’elle ne s’en aperçoive. Dans ma chambre, au dessus de mon bureau, il y a un martinet accroché bien en vue. Malgré l’interdiction d’y toucher, je le cache dans un tiroir.

« Tu sais Didier, il ne sert plus beaucoup maintenant juste quelques coups sur les cuisses quand je dépasse les bornes ! »

A son tour, Didier me fait des confidences et m’avoue qu’il reçoit encore de bonnes fessées au martinet, ce qui n’est pas vraiment surprenant quand on a une mère droguiste ! Après tout, c’est si banal comme punition à l’époque que nous n’y trouvons rien à redire même en temps que grands ados !

Malgré l’interdiction de Maman, je me maquille et je lui emprunte sa robe courte en cuir rouge avec ses bottes à talons aiguilles. Je me trouve super sexy. Didier est admiratif, je lui dis :

« Tu ne vas quand même pas rester avec ton short de scout pour la boum ! »

« Tu as raison, mais je n’ai pas le droit de porter de pantalons ! »

Je lui fais enfiler le pantalon en cuir noir de ma mère qui lui va super bien. Comme il a les cheveux longs, je lui fais une queue de cheval. On dirait maintenant une jolie demoiselle et c’est tant mieux parce que sur mon carton d’invitation avec la signature falsifiée de Maman, j’ai mentionné « boum entre filles » pour ne pas inquiéter les parents ! La boum est prévue de 17 à 23 heures. Huit filles de ma classe ont répondu à mon invitation.

Je me sens libre, heureuse et rebelle comme jamais. Le tourne-disque hurle les chansons à la mode et nous dansons comme des folles. Pour la première fois, je goutte à l’alcool et aux cigarettes et je ne cesse de rire, de parler… Sylvie m’aide à faire les toasts dans la cuisine. En pointant son index vers le martinet accroché au mur, elle me demande si je reçois encore la fessée. J’ai oublié de le cacher et je lui mens en disant :

« C’est pour mes petites sœurs, depuis mes 12 ans je ne reçois plus de fessées. »

Elle me répond :

« Je ne te crois pas ; on a toutes remarqué que tu avais souvent les cuisses rougies par les lanières de cuir, d’ailleurs tu n’es pas la seule de la classe et tu n’as pas à le cacher ! »

« Oui, c’est vrai, mais c’est juste quelques coups sur les cuisses, rien à voir avec une vraie fessée déculottée ! »

« Moi, je préfère le recevoir sur les fesses, elles sont rembourrées, ça fait moins mal ! »

« D’accord, mais c’est plus humiliant, bonjour la honte à notre âge ! »

Puis en riant, elle détache le martinet et me pourchasse devant mes copines qui en rient. Au passage, je casse le beau vase en cristal que Maman aime tant.

« Vaisselle cassée, c’est la fessée, venez m’aider les filles! » s’exclame Sylvie.

Je suis rattrapée, empoignée et troussée par les copines qui s’en amusent !

« La fessée cul nu !… La fessée cul nu !… Et au martinet ! » chantent-elles toutes en chœur.

« Non les filles !… Stop !… Ce n’est pas drôle ! »

Mais, elles sont super excitées et ma petite culotte est vite baissée. A tour de rôle, elle me donne de petits coups de martinet, plus pour caresser mes fesses que pour me fouetter, ce qui me procure un réel plaisir que je ne peux cacher… Finalement nous en rions toutes, y compris moi !

Sylvie veut continuer :

« Au tour de Didier maintenant, on va voir si c’est un garçon ou une fille ! »

Perfidement, comme pour motiver les copines, je renchéris :

« Sa mère est droguiste et Maman lui achète tous ses martinets ! »

Martine décide :

« Nous allons te venger ! »

Didier ne peut résister longtemps à Martine et Isabelle qui le maintiennent pendant que Sylvie lui baisse son pantalon et le déculotte. Comme il se débat en donnant des coups de pied, Sylvie, telle une dompteuse lui hurle dessus et fait claquer le martinet sur ses bottes. Puis, les lanières de cuir s’abattent avec f o r c e sur ses fesses et cuisses nues de grand ado. Ce n’est plus vraiment un jeu mais une vraie fessée.

« A genoux ! Je vais t’apprendre à donner des coups de pied aux filles. Je vais te dresser ! »

Didier est contraint de s’agenouiller mais il ne peut s’empêcher de faire son fanfaron :

« Même pas mal, connasse ! »

« En plus, ce gamin m’insulte ! Il va ramasser une sacrée rouste et après il ne fera plus son malin, il viendra docilement me lécher les bottes ! »

Mes copines se relaient pour le fouetter et elles y vont de bon cœur comme pour se venger des fessées au martinet qu’elles reçoivent de leurs parents. Didier ne fait plus le malin, il crie, pleure, supplie d’arrêter. Prenant pitié, je leur dis :

« Arrêtez les filles ! Il a compris la leçon ! »

« OK, on arrête mais il vient me demander pardon à genoux ! »

Didier est devenu maintenant un garçonnet soumis qui implore notre pardon. Il se présente devant Sylvie qui a gardé le martinet à la main ; elle a un sourire triomphant et dominateur lorsque Didier s’agenouille à ses pieds.

« Pardon Mademoiselle ! J’ai mérité la fessée que vous m’avez donnée. Je ne recommencerai plus ! »

Elle lui met le martinet sous le nez.

« Embrasse-le ! »

Didier se soumet et baise les lanières de cuir.

« Ce n’est pas suffisant ! Lèche-moi les bottes maintenant ! »

Rires des copines lorsque Didier obéit et lui lèche docilement ses bottes.

J’interviens :

« Ça suffit maintenant, va au coin, à genoux, et garde ta culotte baissée ! »

Didier m’obéit comme si j’étais sa maman.

Au bout d’un quart d’heure, prise de remords, je le fais se relever, le reculotte et le prends dans mes bras pour le câliner comme un gamin :

« Ne pleure pas mon grand garçon, c’était juste une fessée pour rire, un petit bizutage entre copines ! »

Isabelle, inquiète, me dit alors :

« Au fait sur ton invitation, il s’agissait d’une boum entre filles. Lorsque Maman va venir me chercher, elle ne va pas apprécier du tout la présence de Didier qu’elle va reconnaître ! »

Les autres copines partagent son avis et craignent d’être punies à cause de la présence de Didier. Sylvie a une idée :

« Avec son visage de fille, tu lui fais deux couettes, tu lui prêtes une jupette, des bottes et un chemisier et ni vu ni connu ! Je suis sûre qu’il va nous obéir maintenant qu’il a les fesses bien rouges, n’est-ce pas Didier ? »

« Oh oui les filles ! Je suis d’accord pour vous rendre service ! »

J’emmène Didier s’habiller dans ma chambre. Ma jupette en skaï rose lui va à ravir d’autant plus qu’il est encore imberbe… ou épilé ? Je lui fais deux couettes et je le maquille. Didier m’avoue qu’il aurait aimé être une fille et qu’il adore porter des vêtements de sa mère en cachette. Les filles n’en croient pas leurs yeux, Didier est devenu la plus féminine et la plus sexy d’entre nous !

Puis la boum continue, je suis troublée de danser un slow très rapproché avec Didier en fille, de poser mes mains sur sa jupette en skaï comme si j’étais un garçon…

Didier n’est pas rancunier, il a vite oublié sa correction humiliante, il s’amuse beaucoup et danse avec toutes mes copines et surtout avec Sylvie à qui il n’ose rien refuser !

Vers 22 heures, la porte du séjour s’ouvre et je reste stupéfaite en voyant Maman entrer ; je suis prise en flagrant délit…

Maman est très en colère :

« Viens ici ! Aux pieds, à genoux ! »

J’obéis.

« Pardon Maman ! Je n’ai rien fait de mal, j’ai juste invité des copines pour danser ! »

« Tu te moques de moi ! Tu devais réviser tes leçons puis te coucher à 21 heures. J’arrive et je vois une orgie avec tabac et alcool, d’ailleurs qui a acheté tout ça ? »

« Euh, c’est moi Maman… »

« Qui a cassé mon beau vase ? »

« C’est moi Maman… »

« En plus, tu as pris mes fringues et tu t’es maquillée malgré mes interdictions ! »

Maman sort de la pièce et revient furieuse en brandissant son portefeuille :

« Il me manque 200 F ! Ma fille est non seulement une menteuse mais aussi une voleuse ! De plus mes deux martinets ont disparu : celui de ta chambre et celui de la cuisine. Tu as pourtant l’interdiction d’y toucher. Va me les chercher immédiatement ! »

Sylvie rapporte le martinet qu’elle avait laissé sur un fauteuil.

« Voilà Madame, je voulais juste voir si c’était le même martinet qu’à la maison ! »

Tête basse, je vais rechercher celui que j’avais caché. Qu’est-ce que je vais ramasser ! Inutile de nier, j’aggraverai mon cas… Rougissante, je m’agenouille devant Maman et je lui tends humblement le martinet. Elle réfléchit à la punition et comptabilise sur mon cahier de punitions les fautes multiples et la punition correspondante inscrite au règlement intérieur.

« Avec toutes les bêtises que tu as faites, tu mérites au minimum 200 coups de martinet ! »

A cette annonce, mes copines ont l’air effrayées par la sévérité de la punition, aussi Maman rajoute avec un sourire moqueur :

« Ne vous inquiétez pas les filles, je suis gentille et je ne donne jamais plus de 20 coups de martinet pour une fessée déculottée, juste de quoi rougir les fesses de votre copine ! D’ailleurs vous pourrez assister au spectacle. En conséquence, elle recevra 10 fessées en 10 jours. Mais pour qu’elle s’en souvienne, je lui réserve quelques surprises… »

« Oh non Maman !… Pas la fessée en public !… Pas devant les copines ! Je t’en supplie ! »

Puis Maman m’envoie au coin à genoux, mains sur la tête attendre l’arrivée des parents et me corriger.

La mère de Didier arrive la première. Elle est très en colère lorsqu’elle voit son fils travesti en fille et apprend que nous avons organisé la boum ensemble. Il reçoit une nouvelle fessée déculottée avec mon martinet devant les filles ravies du spectacle. Puis, lorsque toute l’assistance est là, je dois, à mon tour, présenter mon popotin aux lanières de cuir. Après la correction, je suis envoyée au coin rejoindre Didier, mon complice.

Bonjour la honte d’être punie comme une gamine devant mes copines et leurs parents !

Le lendemain de cette boum mémorable qui avait si bien commencé et si mal fini pour les fesses de Didier et les miennes, j’eus la surprise de voir entrer Maman, conduite par la directrice de l’école religieuse, durant le cours d’anglais de Mlle Davies.

La directrice expliqua aux élèves la gravité de mes fautes : je méritais un châtiment exemplaire. Bonjour la honte, lorsque Maman me déculotta devant toute la classe ! Allongée en travers de ses cuisses, j’eus droit à mes 20 coups de martinet quotidiens, mais ce qui m’a fait le plus mal, ce furent les rires et les moqueries de mes camarades.

Malheureusement pour moi, je n’étais pas au bout de mes surprises car, le jour suivant, c’est dans la cour de récréation des primaires, devant les élèves en rang avec leurs maîtresses que la directrice, après m’avoir fait agenouiller devant elle, expliqua aux gamines la gravité de mes fautes qui méritaient un châtiment exemplaire…

« Sa maman m’a prêté son martinet pour la corriger devant vous. Nous avons décidé qu’elle en recevrait 20 coups. Viens ici, petite menteuse, petite voleuse, soulève ta jupe ! »

Docilement j’obéis en présentant mes fesses. Elle me déculotta en disant :

« Tu ne crois tout de même pas que tu vas garder ta petite culotte, la fessée c’est sur le derrière nu ! »

Elle continua son sermon dans l’hilarité générale :

« Tu voulais danser et bien voilà maintenant je vais t’apprendre « la danse du martinet ». »

Les rires des gamines redoublèrent. J’étais la risée de toutes les petites qui se moquaient de moi. Quant à mes copines de classe, elles me traitaient comme une gamine et me faisaient des réflexions du style de Maman qui les faisaient bien rire :

« Prends garde au martinet !…Je vais rougir ton gros popotin !…Tu la veux ta fessée cul nu !…Je vais te baisser ta petite culotte et pan pan cul cul devant tes copines !… Oh les filles, regardez les cuisses de Domie, elles sont toutes striées par le martinet !… » et j’en passe et des meilleures…

Durant ces dix jours, Maman a tenu toutes ses promesses ; elle a été intraitable ; j’ai même eu droit à une fessée au square devant les gamins, mais aucune maman n’a protesté pour me défendre, bien au contraire. Il est vrai que la plupart d’entre elles avaient un martinet à la maison et que voler est un acte gravissime !

En outre, avec mes deux couettes et ma tenue « style fillette » (minijupe, socquettes et sandalettes blanches), on me donnait 12 ou 13 ans malgré mon 1,72 m et mes jolis petits seins. Maman croyait que ça me ferait passer l’envie de recommencer tellement j’aurais la honte. C’est vrai, j’ai eu la honte, j’ai beaucoup pleuré, crié et j’ai eu les cuisses et les fesses bien rouges et bien striées, mais j’ai aussi éprouvé un certain plaisir, une excitation inexplicable à être corrigée comme une gamine ! C’est pour cela que je la laissais faire sans opposer la moindre résistance comme une grande mollasse docile. A mes copines compatissantes, j’expliquais :

« Je reconnais que je les ai bien cherchées et bien méritées toutes ces fessées. J’ai fait beaucoup de peine à Maman en me conduisant si mal. Et puis, je préfère être punie comme une gamine plutôt que les punitions que vous me racontez… »

Je me suis confessée à M. le Curé qui m’a fait comprendre que Maman avait eu raison de me corriger ainsi du fait de la gravité de mes péchés. Selon lui, je m’étais conduite comme une gamine insupportable et Maman avait eu raison de me punir sévèrement comme une gamine ! La fessée au martinet ne pouvait que me faire du bien en me remettant dans le droit chemin.

Je me suis empressée de raconter ma confession à Maman qui a été très contente de ma nouvelle conduite mais aussi de cette approbation, de cette bénédiction de M. le Curé.

Aussi, j’ai tout fait pour qu’elle continue, trop contente du retour en grâce de la déculottée au martinet, non sans succès d’ailleurs… Je crois d’ailleurs que Maman y prenait un certain plaisir, sans doute inconscient, qu’elle masquait par des principes d’éducation stricte, d’autorité maternelle indispensable. Elle appliquait avec moi la tolérance zéro, se vantant auprès de ses amies des résultats obtenus grâce à cette méthode.

«J’étais devenue vraiment trop laxiste et Domie en profitait. Elle prenait une mauvaise pente en devenant une demoiselle insupportable, paresseuse, indisciplinée, insolente… Après ses actes de délinquance, j’ai compris que ce n’est pas l’âge de l’e n f a n t qui compte mais sa maturité. Elle avait besoin qu’on lui fixe des règles, des limites, des objectifs scolaires avec le retour des punitions traditionnelles qui avaient fait leurs preuves avant, lorsqu’elle était considérée comme une petite fille modèle. J’ai donc décidé de revenir à l’usage de la fessée déculottée et du martinet ! Bien entendu, qui dit punitions dit aussi récompenses lorsqu’il y a des progrès, et je sais aussi être généreuse. Oui, j’ai remis à l’honneur le martinet et Domie ne m’en veut pas, car elle sait dans son for intérieur que c’est pour son bien, qu’elle en a besoin, et qu’elle le mérite, n’est-ce pas ma chérie ? »

Il n’était pas question pour moi de la désapprouver et ma réponse était sincère :

« Oh oui Maman ! C’est à moi de faire ce qu’il faut pour ne pas être punie. Je reconnais que tes punitions sont toujours justifiées et que je me conduis souvent comme une gamine insupportable. Oui, être déculottée, fouettée au martinet, mise au coin à genoux, ça me fait réfléchir et ça m’incite à ne pas recommencer et à améliorer mon comportement ! »

Durant cette période, je dois aussi dire que Maman ne s’est jamais montrée aussi câline et généreuse avec moi, comme pour se faire pardonner ! Ma garde-robe s’est grandement enrichie en minijupes, shorts, sandalettes, bottes, cirés vernis avec les traditionnelles culottes « Petit Bateau »… Bien entendu, mes deux couettes et mes jupettes au ras des fesses me donnaient un look de « gamine espiègle » qui me rajeunissait beaucoup et qui encourageait Maman à me corriger comme une e n f a n t …

Je ne voulais pas grandir et je ressentais comme un frisson inexplicable dans le bas du dos, une sensation de peur et de plaisir lorsque Maman décrochait son cher martinet pour me corriger… Elle en devenait une adepte inconditionnelle et elle était de plus en plus exigeante avec moi, notamment pour les résultats scolaires. Au 3ème trimestre, bien que je sois passée de la 25ème à la 4ème place, j’ai quand même eu droit à la fessée déculottée parce que j’avais eu 5/20 en anglais ! Je dois cependant reconnaître que la prof d’anglais s’était plainte de ma conduite en classe, ce qui était intolérable pour ma mère.

Maman ne s’est jamais rendu compte qu’une demoiselle de mon âge puisse prendre du plaisir à être traitée comme une gamine, à être humiliée, déculottée et fouettée (certes pas trop fort) ! Si j’avais résisté, si je n’avais pas été consentante, aurait-elle eu recours à d’autres punitions, je n’en suis pas si sûre étant donnée l’époque où les parents avaient un droit de correction très étendu. Personne à qui se plaindre : la fessée et l’usage du martinet n’étaient pas considérés comme de la maltraitance ! L’a d o l e s c e n t était considéré comme un gamin. Et puis, il y avait la morale chrétienne avec le respect des parents, la nécessité du châtiment, la culpabilisation, la confession…

M. le Curé n’avait-il pas approuvé l’usage de la fessée et du martinet et ne m’avait-il pas conseillé d’obéir, d’être sage, de faire ce qu’il faut pour ne pas être punie ! Il n’y avait qu’à attendre la majorité ou le départ de la maison. Je n’avais cependant rien d’une fille malheureuse, bien au contraire et ma chambre bien rangée était celle d’une fille très gâtée avec toutes ces poupées, peluches, jeux, disques et vêtements ! J’étais habituée à la présence du martinet au dessus de mon bureau, c’était le symbole de l’autorité maternelle et de mon statut de gamine. D’ailleurs, je n’y prêtai attention que lorsque Maman le décrochait pour me faire réciter les leçons ou pour me corriger !

Quant à mes petites sœurs, elles étaient sages et rarement punies car pour Maman, c’était moi la gamine insupportable qu’il fallait dresser et surveiller de très près.

Domie

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